4 conseils pour écrire la fin de votre roman
Comment mettre un point final à son récit ? Tous les écrivains se posent cette question, aussi importante que complexe. Voici quelques conseils pour écrire le dénouement idéal.
1- Ecrivez, réécrivez, corrigez !
Comment savoir lorsqu’il est temps d’en finir ? “Vous ne savez pas. La plupart des romanciers que je connais n’en ont aucune idée. Ils écrivent, réécrivent et corrigent sans cesse. Après des dizaines de brouillons, ils finissent par trouver une fin qui pourrait coller”, raconte le romancier Mark Wisniewski. “Ecrire le dénouement est très frustrant, mais vous devez travailler jusqu’à vous écrier “Ca y est!”. Vous saurez quand la touche finale sera parfaite. Vous serez un combattant ayant vaincu son adversaire”, explique l’écrivain américain Duff Brenna.
Comment savoir lorsqu’il est temps d’en finir ? “Vous ne savez pas. La plupart des romanciers que je connais n’en ont aucune idée. Ils écrivent, réécrivent et corrigent sans cesse. Après des dizaines de brouillons, ils finissent par trouver une fin qui pourrait coller”, raconte le romancier Mark Wisniewski. “Ecrire le dénouement est très frustrant, mais vous devez travailler jusqu’à vous écrier “Ca y est!”. Vous saurez quand la touche finale sera parfaite. Vous serez un combattant ayant vaincu son adversaire”, explique l’écrivain américain Duff Brenna.
2- Montrez les évolution de vos personnages
Un personnage est affecté par les conflits à l’oeuvre dans le récit, qui le changent peu à peu. “Si les actions laissent le personnage de marbre, à quoi sert l’histoire ? L’intrigue doit être assez forte pour pouvoir transformer le personnage principal”, estime l’auteure américaine Ellen Sussman. “Ces changements doivent se faire des deux côtés. En effets, les personnages auront accompli quelque chose d’important, mais ils en auront payé le prix”, explique l’écrivain de fantasy David B. Coe.
Un personnage est affecté par les conflits à l’oeuvre dans le récit, qui le changent peu à peu. “Si les actions laissent le personnage de marbre, à quoi sert l’histoire ? L’intrigue doit être assez forte pour pouvoir transformer le personnage principal”, estime l’auteure américaine Ellen Sussman. “Ces changements doivent se faire des deux côtés. En effets, les personnages auront accompli quelque chose d’important, mais ils en auront payé le prix”, explique l’écrivain de fantasy David B. Coe.
3- Soyez clair
Laisser des zones d’ombres ou jouez avec l’ambiguïté ne sont pas de si bonnes stratégies, notamment pour l’édition grand public. Les questions en suspens peuvent frustrer le lecteur. “Un bon dénouement doit briller par sa clarté, jusqu’au dernier mot. La narration doit se terminer d’elle-même, sans artifices. Vous pouvez réserver une certaine surprise à votre personnage ou explorer un détail laissé de côté afin de surprendre et satisfaire votre lecteur. Mais soyez prudent : quel que soit l’élément que vous mettez en valeur lors du dénouement, respectez votre récit. N’ajoutez rien par plaisir ou caprice. La fin doit venir naturellement, dans des termes clairs, et être concise”, conseille Wisniewski.
Laisser des zones d’ombres ou jouez avec l’ambiguïté ne sont pas de si bonnes stratégies, notamment pour l’édition grand public. Les questions en suspens peuvent frustrer le lecteur. “Un bon dénouement doit briller par sa clarté, jusqu’au dernier mot. La narration doit se terminer d’elle-même, sans artifices. Vous pouvez réserver une certaine surprise à votre personnage ou explorer un détail laissé de côté afin de surprendre et satisfaire votre lecteur. Mais soyez prudent : quel que soit l’élément que vous mettez en valeur lors du dénouement, respectez votre récit. N’ajoutez rien par plaisir ou caprice. La fin doit venir naturellement, dans des termes clairs, et être concise”, conseille Wisniewski.
4- Donnez au lecteur ce que vous lui avez promis
Un bon dénouement est un point final à un roman de qualité et met tous les éléments de votre récit en communion. “Aucun acier ne poignarde le coeur aussi bien qu’un point placé au bon endroit”, disait l’écrivain soviétique Isaac Babel. Tous les auteurs travaillent pour ce moment de grâce, libéré de toute envolée lyrique ou d’ajouts inutiles. “L’auteur doit avoir le sentiment que la promesse faite au lecteur est tenue”, explique Brenna. Alors que l’ouverture capte l’intérêt du lecteur, la fin doit lui montrer qu’il a eu raison de vous lire.
Un bon dénouement est un point final à un roman de qualité et met tous les éléments de votre récit en communion. “Aucun acier ne poignarde le coeur aussi bien qu’un point placé au bon endroit”, disait l’écrivain soviétique Isaac Babel. Tous les auteurs travaillent pour ce moment de grâce, libéré de toute envolée lyrique ou d’ajouts inutiles. “L’auteur doit avoir le sentiment que la promesse faite au lecteur est tenue”, explique Brenna. Alors que l’ouverture capte l’intérêt du lecteur, la fin doit lui montrer qu’il a eu raison de vous lire.
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