Patrick Loranger et Sylvie Poisson, deux écrivains de la Mauricie ainsi que dix jeunes -dont plusieurs vivant avec un trouble du spectre de l'autisme ou un trouble déficitaire de l'attention- ont travaillé ensemble à la construction d’un roman policier, La première vraie enquête du détective Moche, qui a été complété en 2020. En attendant de trouver un éditeur, les auteurs ont produit une autoédition à tirage limité en mars 2024!
lundi 31 août 2020
lundi 24 août 2020
Quel narrateur faut-il choisir ?
Source: enviedecrire.com - L'agence de conseils littéraires- 17 juillet 2019
Faut-il écrire à la première ou à la troisième personne ? Avant de se lancer pour écrire un roman ou une nouvelle, il faut faire un choix. Posez-vous les bonnes questions pour bien déterminer qui sera le narrateur de votre récit.
Le récit à la troisième personne
C’est ce que l’on trouve le plus souvent dans la littérature. Pratique, ce type de narration permet une vue d’ensemble du récit. Le narrateur peut alors observer et décrire non seulement les personnages, mais également ce qui se passe dans leur tête. Mais avant de vous lancer dans ce type de narration, il faut vous poser certaines questions, afin de bien définir votre narrateur. Ce dernier est-il omniscient ou limité à sa propre connaissance ? Un narrateur omniscient permet de plus facilement révéler des informations au lecteur. De son côté, un narrateur au point de vue interne fait part du point de vue de l’un des personnages.
Autres questions à vous poser : le narrateur est-il objectif ? Prend-il parti ? Et lequel ? Votre narrateur peut raconter les faits avec une impartialité totale ou au contraire, dans un style totalement différent, juger et critiquer le récit. Quoi qu’il en soit, le narrateur, même à la troisième personne, n’est pas forcément fiable et peut se jouer du lecteur. A vous de savoir s’il s’agit du type de narrateur que vous souhaitez pour votre récit.
C’est ce que l’on trouve le plus souvent dans la littérature. Pratique, ce type de narration permet une vue d’ensemble du récit. Le narrateur peut alors observer et décrire non seulement les personnages, mais également ce qui se passe dans leur tête. Mais avant de vous lancer dans ce type de narration, il faut vous poser certaines questions, afin de bien définir votre narrateur. Ce dernier est-il omniscient ou limité à sa propre connaissance ? Un narrateur omniscient permet de plus facilement révéler des informations au lecteur. De son côté, un narrateur au point de vue interne fait part du point de vue de l’un des personnages.
Autres questions à vous poser : le narrateur est-il objectif ? Prend-il parti ? Et lequel ? Votre narrateur peut raconter les faits avec une impartialité totale ou au contraire, dans un style totalement différent, juger et critiquer le récit. Quoi qu’il en soit, le narrateur, même à la troisième personne, n’est pas forcément fiable et peut se jouer du lecteur. A vous de savoir s’il s’agit du type de narrateur que vous souhaitez pour votre récit.
Le récit à la première personne
Le narrateur à la première personne est forcément peu fiable pour le lecteur. Car cette narration qui prend le parti d’un point de vue subjectif. Avec ce type de narration, il est plus difficile de révéler certaines informations. Il faudra trouver des astuces et des prétextes pour que le lecteur comprenne comment le narrateur a appris ces éléments. Ce narrateur peut être l’un des personnages principaux du récit, et donner ainsi sa vision et son point de vue au lecteur. Mais il peut aussi être à l’écart, et ainsi avoir une vue d’ensemble des faits, avec plus de recul. Ces deux aspects peuvent d’ailleurs être utilisés alternativement dans un même récit. Ce type de narration fonctionne très bien pour les thrillers ou les romans policiers. Le lecteur se sent ainsi proche de l’action et cogite en même temps que le narrateur, pour trouver la solution de l’énigme.
Le narrateur à la première personne est forcément peu fiable pour le lecteur. Car cette narration qui prend le parti d’un point de vue subjectif. Avec ce type de narration, il est plus difficile de révéler certaines informations. Il faudra trouver des astuces et des prétextes pour que le lecteur comprenne comment le narrateur a appris ces éléments. Ce narrateur peut être l’un des personnages principaux du récit, et donner ainsi sa vision et son point de vue au lecteur. Mais il peut aussi être à l’écart, et ainsi avoir une vue d’ensemble des faits, avec plus de recul. Ces deux aspects peuvent d’ailleurs être utilisés alternativement dans un même récit. Ce type de narration fonctionne très bien pour les thrillers ou les romans policiers. Le lecteur se sent ainsi proche de l’action et cogite en même temps que le narrateur, pour trouver la solution de l’énigme.
Le récit à la seconde personne
Ce type de narration est-il envisageable ? Il peut avoir une certaine originalité, mais risque de s’essouffler très vite. Il peut alors être utilisé en prologue par exemple ou bien même dans certains passages, à l’instar du Livre du Voyage de Bernard Werber (Albin Michel, 1997). Dans ce récit, le livre est le narrateur et s’adresse directement au lecteur. Cependant si cela fonctionne pour le Livre du Voyage, c’est bel et bien parce que le récit est très court et qu’il alterne entre la première et la seconde personne.
(visuel : © Sébastien Garcia _ Fotolia)
enviedecrire.com
Ce type de narration est-il envisageable ? Il peut avoir une certaine originalité, mais risque de s’essouffler très vite. Il peut alors être utilisé en prologue par exemple ou bien même dans certains passages, à l’instar du Livre du Voyage de Bernard Werber (Albin Michel, 1997). Dans ce récit, le livre est le narrateur et s’adresse directement au lecteur. Cependant si cela fonctionne pour le Livre du Voyage, c’est bel et bien parce que le récit est très court et qu’il alterne entre la première et la seconde personne.
(visuel : © Sébastien Garcia _ Fotolia)
enviedecrire.com
lundi 17 août 2020
Noir sur blanc de Mylène Fortin
Dans ce joyeux guide très vivant construit sous forme d’un enchainement d’improvisations littéraires à réaliser en solo ou en groupe, l’auteure Mylène Fortin, ferrée à l’animation d’ateliers d’écriture pour tous les publics, propose une savoureuse plongée dans l’univers débridé de la création libérée.
D’un exercice de création à l’autre, elle nous invite à développer les outils susceptibles d’enrichir et d’élargir nos registres, connaissances et aptitudes. Exploitation de procédés stylistiques, exercices pour muscler la créativité, lectures inspirantes d’extraits d’œuvres variées, tactiques pour transposer en images vivantes des expériences vécues et stratégies pour repasser les faux plis : tout y est pour se faire la main sans se prendre la tête.
- quelque 70 propositions d’improvisations littéraires de durée variable
- plus de 130 exemples originaux et au-delà de 70 citations d’ici et d’ailleurs illustrant des procédés à explorer
- une approche unique qui donne envie d’écrire encore et encore
- plus de 130 exemples originaux et au-delà de 70 citations d’ici et d’ailleurs illustrant des procédés à explorer
- une approche unique qui donne envie d’écrire encore et encore
lundi 10 août 2020
When haters go after your looks and differences, it means they have nowhere left to go. And then you know you’re winning!
I have Asperger’s syndrome and that means I’m sometimes a bit different from the norm. And - given the right circumstances - being different is a superpower.
I'm not public about my diagnosis to "hide" behind it, but because I know many ignorant people still see it as an "illness", or something negative. And believe me, my diagnosis has limited me before.
Before I started school striking I had no energy, no friends and I didn’t speak to anyone. I just sat alone at home, with an eating disorder.
All of that is gone now, since I have found a meaning, in a world that sometimes seems meaningless to so many people.
Greta Thunberg sur sa page Facebook
31 août 2019
lundi 3 août 2020
Figure de style: la métonymie
La métonymie désigne une réalité par un nom qui se réfère à une autre réalité
Exemple: le contenant pour le contenu, la partie pour le tout, etc.
(Office de la langue française)
Une capsule réalisée par Olivier Gamelin et Louis-Serge Gill
dans le cadre du Fonds de développement pédagogique
du Collège Laflèche de Trois-Rivières
du Collège Laflèche de Trois-Rivières
Inscription à :
Articles (Atom)